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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 08:18

 

81600-cadalen.PNG

 

Avant propos

 

Avec ses 48 000 habitants, Tarn et Dadou est une communauté de communes regroupant 29 communes sur 4 cantons dont Gaillac bien connue pour ses vins : http://www.cc-tarndadou.fr/communes.php

 

A cette page http://www.cc-tarndadou.fr/spanc.php nous lisons :

 

« NE PAS CONFONDRE : DEVOIR DE CONTROLE ET POUVOIR DE POLICE DU MAIRE

 

L'article L 2212-2 du CGCT prévoit que le Maire dispose des pouvoirs de police en matière de salubrité. A ce titre, il doit prévenir par des précautions convenables et faire cesser les pollutions de toute nature... (1)

 

- Le devoir de contrôle = un agent du service constate l'état de l'installation et établit un rapport de visite adressé au propriétaire et au maire.

 

- Le pouvoir de police = dès lors que le rapport de visite fait état d'un risque de pollution, le Maire exerce son pouvoir de police afin de faire cesser le trouble. (2)

 

Remarque en cas d'intercommunalité :

 

Seul le maire de la commune territorialement concernée par un ouvrage présentant des risques pour l'environnement, peut exercer son pouvoir de police. (3) »

 

Remarques d’igepac :

 

(1) et (2) SAUF que viticulture et agriculture impliquent de constantes et d’énormes pollutions que nos maires ignorent. Des maires et des élus ruraux qui ne se cachent pas de défendre leurs intérêts ou ceux des « copains » agriculteurs. La pollution des assainissements de particuliers et négligeable. Pour autant, il faut limiter cette pollution mais avec les règles communes appliquées à tous. Actuellement l’agriculture pollue sans être pénalisée, ni même contrôlée et les assainissements non collectifs ne sont pas ou peu subventionnés en comparaison avec les assainissements collectifs. Nous DEVONS réclamer une équité républicaine !!!

 

(3) Pas certain, … à voir, … la loi aurait évoluée. C’est très commode à une communauté de se libérer ainsi des contestations locales et de ne pas prendre en charge d’éventuelles pollutions.

 

_____________________________

 

 

Le courrier d’un internaute de cette communauté

 

 

« Je viens de recevoir un courrier de ma communauté des communes Tarn et Dadou m'indiquant qu'un technicien de la Lyonnaise des eaux va prendre contact pour me faire un diagnostic soi-disant obligatoire et payant (100 euros). A l'issue de ce diagnostic je sens que je vais me faire enfler...

 

Il s'agit de ma fosse sceptique et du bac à graisse évidemment.

 

Je refuse de payer pour un service privé que la commune m'impose par un tiers interposé. Demain on me fera payer un contrôle visuel de ma façade 500 eus et on me mettra un coupon dans la boîte au lettre.

 

N'est-ce pas de la vente forcée ? Ils nous em…bêtent.

 

Qu'est ce que je risque à refuser le contrôle ou à promener le contrôleur de rendez-vous en rendez-vous sans le rappeler par exemple ? Font-ils signer un devis ou un bon de commande qui prouve que j'ai demandé le contrôle ?

Y a t il d'autres personnes dans mon cas ? Probablement.... Mais quels sont les risques réels, je ne compte pas vendre mon bien. »

 

Un premier commentaire d’André :

 

« La loi dit que nous devons être contrôlés avant décembre 2012, obligatoire, la seule chose que vous pouvez faire c’est de faire "traîner" comme je le fais et de donner un RV avant fin 2012, et surtout ne pas refuser le contrôle, faire un courrier qui le précisera.

 

Dans le cas présent les contrôles ont été donnés à des privés , le SPANC local peut le faire . Par contre il faut bien lire le règlement car maintenant ils ont la possibilité de donner une astreinte qui va jusqu'au double de la redevance à condition que le droit de police ait été donné à la com/com, sinon c' est le maire qui la donnera. Qu' il se renseigne bien avant toute action, compte tenu des nouvelles dispositions, nous sommes prisonniers dans le "goulag spankieux" »

 

igepac :

 

- A priori, le contrôle ne peut pas se refuser. Nos élus parlementaires l’ont décidé ainsi en concevant la loi du SPANC.

 

- Les risques ? Les élus et le délégataire ont la possibilité financière de vous em…bêtez indéfiniment puisque cela ne leur coûtent rien car c’est vous, contribuable, qui payez. Les dés sont pipés d’avance, il vous faut trouver une solution où c’est vous qui imposerez les règles du jeu. Actuellement nous sommes tous condamnés à payer … et en silence !!!

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6 septembre 2011 2 06 /09 /septembre /2011 04:20

Vous avez une fosse septique, prenez 5 minutes pour nous informer de votre SPANC, votre Service Public de l’Assainissement Non Collectif.

 

Dossier à remplir et à transmettre

avant le 23 septembre 2011

 

par courrier postal à CLCV 59 boulevard Exelmans, 75016 Paris

en imprimant le document ( .pdf ) ci-dessous et en le complétant à la main :

 http://ddata.over-blog.com/3/00/14/37/2011/grille-enquete-CLCV-ANC-2011-par-CLCV.pdf

  

OU

 

par courriel à cette adresse : s.bernhard@clcv.org

après avoir rempli cet autre document ( Word .doc ) sur votre ordinateur :

http://ddata.over-blog.com/3/00/14/37/2011/grille-enquete-CLCV-ANC-2011-par-igepac.doc

 

Remarque : l’envoi des documents de votre SPANC vous est demandée mais ce n’est pas une stricte obligation pour participer à cette enquête, mais remplissez le document, s’il vous plaît.

 

 

MERCI DE VOTRE PARTICIPATION

POUR MIEUX VOUS INFORMER

 

 

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31 août 2011 3 31 /08 /août /2011 21:38
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25 août 2011 4 25 /08 /août /2011 06:57

 Niveau de pollution non acceptée

par la préfecture de la Manche

 

( Mais au fait, ... qui paie ce contrôle ? )

 

 

50630-cc-val-de-saire.PNG

 

Un article à lire ici :

 

http://www.igepac.com/article-step-pollution-des-huitres-et-autres-bivalves-de-la-baie-de-morsalines-82391494.html 

 

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22 août 2011 1 22 /08 /août /2011 00:02

 

Si le vôtre a une différence notoire, merci d'envoyez une copie à

igepac@gmail.com,

 

TOUTES  vos données personnelles seront supprimées, comme ci-dessous.

 

 contrôle-vitteaux-00

 

 contrôle-vitteaux-02

 

contrôle-vitteaux-03

 

 contrôle-vitteaux-04

 

contrôle-vitteaux-05

 

 

controle-vitteaux-07.PNG

 

 

 

 

 

 

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12 août 2011 5 12 /08 /août /2011 06:17

   

Un Article unique :

 

Au chapitre 3 « Dispositifs assurant l'épuration des effluents avant rejet vers le milieu hydraulique superficiel » de l'annexe de l'arrêté du 6 mai 1996 susvisé, le paragraphe intitulé : « 1° Lit filtrant drainé à flux vertical » est modifié ainsi qu'il suit :

 

I. - Au début du paragraphe, il est inséré le titre suivant : « a) Lit à massif de sable ».

 

II. - Le paragraphe est complété par les dispositions suivantes : « b) Lit à massif de zéolite ».

 

Ce dispositif peut être utilisé pour les habitations de 5 pièces principales au plus. Il doit être placé à l'aval d'un prétraitement constitué d'une fosse septique toutes eaux de 5 mètres cubes au moins.

 

La surface minimale du filtre doit être de 5 mètres carrés. Il comporte un matériau filtrant à base de zéolite naturelle du type chabasite, placé dans une coque étanche. Il se compose de deux couches : une de granulométrie fine (0,5-2 mm) en profondeur et une de granulométrie plus grossière (2-5 mm) en surface. Le filtre a une épaisseur minimale de 50 cm après tassement.

 

Le système d'épandage et de répartition de l'effluent est bouclé et noyé dans une couche de gravier roulé. Il est posé sur un géotextile adapté destiné à assurer la diffusion de l'effluent.

 

Le réseau de drainage est noyé dans une couche de gravier roulé, protégée de la migration de zéolite par une géogrille. L'épaisseur de cette couche est de 15 cm au moins.

 

L'aération du filtre est réalisée par des cheminées d'aération.

 

Ce dispositif ne peut être utilisé lorsque des usages sensibles, telles la conchyliculture ou la baignade existent à proximité du rejet. »

 

____________

 

LIT A MASSIF DE ZEOLITHE

 

Description

 

- Le lit à massif de zéolithe est une filière compacte qui reprend le principe d’épuration du filtre à sable vertical drainé.

 

Cette solution est généralement utilisée lorsque le sol en place est très peu perméable et/ou la surface disponible trop faible pour le lit à massif de sable. Cependant, ce dispositif ne peut pas être mis en place lorsque des usages sensibles (conchyliculture, baignade,…) existent à proximité du rejet.

 

Le lit à massif de zéolithe comporte :

 

- un matériau filtrant à base de zéolithe (matériau minéral filtrant) naturelle placé dans une coque étanche et réparti en 2 couches de granulométrie différente. Après tassement, l'épaisseur doit être au minimum de 50 cm ;

 

- des cheminées destinées à l'aération du filtre ;

 

- un système d'épandage destiné à répartir les effluents sur toute la surface du massif de zéolithe ;

 

- un système de drainage, situé en fond, destiné à collecter les effluents après traitement ;

 

Il doit être placé en aval d'une fosse toutes eaux de 5m3 au moins et avoir une superficie de 5m2

 

minimum pour une maison comportant 5 pièces principales (soit 2 chambres)

 

Règles de précaution de mise en place

 

Cette filière compacte est mise en place surtout dans le cadre de réhabilitation d’habitation qui dispose de peu de terrain. Par contre, ce dispositif nécessite un exutoire (fossé, rigole, réseau d’eaux pluviales…) afin d’évacuer les eaux épurées.

 

La mise en place est réalisée par des entreprises agréées par le constructeur de ce procédé.

 

Conseils d’utilisation

 

Ne pas imperméabiliser la surface de traitement.

Proscrire toute culture ou plantation d’arbres sur le site.

Proscrire le stockage de charges lourdes au - dessus de la filière (ex :bois).

 

Source : http://www.valdevienne.fr/

 

anc-lit-zeolite.PNG

 

 

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6 août 2011 6 06 /08 /août /2011 17:15

 

La communauté est composée de 40 communes des Cantons d'Arinthod et de Saint-Julien-sur-Suran.

 

39-petite-montagne.PNG

 

A en croire Charles qui a laissé ce témoignage sur le blog igepac :

 

 

" Un scandale, énorme, celui de l'assainissement

 

Notamment :

 

- Le 1/3 des foyers de notre communauté de communes (com-com Petite Montagne dép 39) paie une redevance d'assainissement collectif pour un traitement des eaux usées qui n'existe pas car il n'y a pas de station d'épuration.

 

Les eaux usées collectées par l'ancien collecteur des eaux pluviales (généralement de plus de cinquante ans) sont rejetées dans la nature un peu plus loin sans aucune forme de traitement.

 

Faire payer un service qui n'existe pas est normalement une infraction. Pas pour une collectivité ?

 

- Une redevance d'assainissement non collectif vient d'être instituée. Sa contrepartie est un "contrôle de bon fonctionnement" de l'installation individuelle. La loi autorise ce contrôle à intervalle de 10 ans. Il est facturé ici 50 € par an. Pour un contrôle tous les dix ans, il met ce contrôle à 50 € X 10 = 500 €.

 

Nous avons vu faire ce contrôle qui ne dure que quelques dizaines de minutes : (vérification de la hauteur de boue avec un tube -5 minutes-, un ou deux regards à soulever et c'est tout).

 

La loi dit que toute redevance doit correspondre à une contrepartie précise et que son montant doit correspondre au coût effectif de cette contrepartie).

La loi ne s'applique pas aux collectivités ?

 

Il ne reste plus qu'à brûler des voitures pour que les zones rurales puissent être entendues.

 

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4 août 2011 4 04 /08 /août /2011 05:53
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25 juillet 2011 1 25 /07 /juillet /2011 20:32

 

microstation-01.PNG

 

Un exemple plutôt positif, dans le Var, au Thoronet, si ...

  

Vous construisez une maison, vous n’est pas démuni, le terrain est argileux, la rivière est proche, alors la micro-station d'épuration est une solution et c'est la rivière qui se chargera de votre pollution. Avec une fosse septique ce serait le sol puis la nappe phréatique qui accueillerait  le surplus de pollution.

  

Un article de FR3 commenté entre parenthèses par igepac

  

" Retraitement de l'eau largement supérieur ( d’après le fabricant )

 

Sur trois hectares en pleine forêt, Daniel est en train de construire sa maison. Le terrain, à deux kilomètres du village du Thoronet, n'est pas relié au tout à l'égout. Lorsqu'on lui a proposé une fosse septique avec un terrain d'épandage de 200 mètres carrés, Daniel a bondi. ( détruire la végétation du Var … une cinquantaine d’arbres )

  

La solution : une micro-station d'épuration enterrée. Le principe : les eaux usées sont oxygénées, nettoyées par des bactéries qui mangent les résidus ( image de vidéo école maternelle ). L'eau filtrée, 40 litres par heure maximum, est rejetée dans la nature ( avec tous les produits polluants dissous dans l’eau, comme avec une fosse septique ).

  

Au Thoronet, le maire observe cette nouveauté d'un œil intéressé. Le village possède bien sa propre station d'épuration. Elle est d'ailleurs loin d'être saturée. Mais comme d'autres villages du Var, la commune est étendue. 13 petits hameaux, qui ne peuvent être tous reliés au tout à l'égout.

  

Ces micro-stations retraiteraient l'eau à 95% contre 30% pour une fosse septique classique ( « - Et moi, dit le fabricant de fosses septiques, je vous dis qu’une fosse septique classique et à long terme pollue trois fois moins que les micro-stations et surtout ne pollue pas les rivières » ). Une solution adaptable aussi au logement collectif. De quoi envisager plus sereinement l'explosion démographique : au Thoronet, la population a quadruplé en 40 ans."

 

 

 

Voir la vidéo FR3 ( ! le Var, c’est le 8 3 … pas le 9 3 ) :

http://cote-d-azur.france3.fr/info/micro-stations-d-epuration-pour-particuliers-69753896.html



Fin d'article  ____________________

 

 

 

 

En faite, ces micro-stations brassent les effluents, les oxygènent et augmentent ainsi la VITESSE de décomposition de CERTAINES molécules polluantes, pourquoi pas trois fois plus vite que dans une fosse classique. La masse de produits de décantation est ainsi inférieure dans ce type d’assainissement, en conséquence les produits dégradés dissous sont plus importants mais non visibles. Les eaux dites « épurées » de n’importe quel système d’assainissement, en état de fonctionnement, sont toujours limpides mais la pollution invisible est bien présente.

 

La micro station d’épuration oui, mais avec modération et après une sérieuse étude comparative.

 

Dans une maison secondaire, où l’électricité est coupée lors de l’inoccupation, ce système n’est pas utilisable. 

 

ATTENTION aux pièges commerciaux de ce nouveau système, le sol français ne serait qu'argile PUR ... !

ATTENTION au coûts d’achat et d’entretien !

 

Est-il préférable de polluer la rivière plutôt que le sol ?

(  les deux sont souvent pollués avec les micro-stations lorsque les vidanges sont épandues sur des terres agricoles )

  

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6 juillet 2011 3 06 /07 /juillet /2011 18:01

56870-Baden.PNG

 

Ouest-France - samedi 02 juillet 2011

 

Vendredi, le comité du syndicat intercommunal d'assainissement et d'eau potable de la région Vannes-ouest s'est réuni. À l'ordre du jour, entre autres, les rapports annuels 2010 sur l'assainissement non-collectif, l'assainissement collectif et l'eau potable.

 

À la présentation du rapport sur l'assainissement non-collectif, Joseph Hello, conseiller municipal de Plougoumelen, est monté au créneau, notamment sur les coûts de mises aux normes des installations, qui selon lui, « pourraient être réduits en changeant de système ». Une installation coûte environ 10 000 €. Soixante-douze installations sont classées inacceptables et donc à remettre aux normes sur tout le territoire.

 

Diminuer la facture

 

Pour Joseph Hello, « si nous (le Siaep) prenions ces compétences de réhabilitation en regroupant tous ces installations dites inacceptables, ceci permettrait de diminuer le coût pour les usagers ». En clair, l'élu préconise que le syndicat regroupe les utilisateurs afin de lancer un appel d'offres qui aurait pour impact une diminution des coûts pour chacun, « de l'ordre de 20 % pour les marchés publics », indique-t-il. « Ce regroupement permettrait aussi aux usagers de bénéficier de subventions de l'agence de l'eau à hauteur de 30 % pour chaque installation ». L'élu préconise donc un regroupement pour faire baisser les coûts et obtenir des subventions, en précisant bien « que les travaux resteraient à la charge de l'usager, mais beaucoup moins coûteux ».

 

Des aides pour les mises aux normes

 

Gérard Laprun, conseiller municipal d'Arradon, a salué cette idée mais avec réserves. « Votre proposition est louable.

 

Mais nous avons déjà essayé de réduire les coûts au maximum, cette proposition rentrerait dans notre budget et serait inexorablement impactée aux usagers. Ce que vous risquez de contester encore. » Joseph Hello a argumenté en mettant en avant le fait que « certains usagers ne peuvent pas suivre financièrement pour remettre aux normes une telle installation ».

 

Les personnels du Siaep ont avancé qu'il existait des aides au financement qu'elles soient individuelles sous conditions de ressources ou dans le cadre du prêt à taux zéro. Gérard Laprun a quant à lui, expliqué : « Je me bats pour que l'on ait le prix le plus juste. Nous avons déjà essayé de réduire les coûts ».

 

Trop d'heures de contrôle facturées

 

Daniel Jacob, président du Siaep et adjoint au maire de Baden, a souhaité couper court à ce débat, mais Joseph Hello est remonté au créneau sur le nombre d'heures de contrôle facturées aux usagers. « Nous en sommes à plus de six heures de contrôle par installation et cela dérange les usagers. Deux heures, deux heures trente par contrôle serait plus réaliste. » Monique Le Port Desrondeaux, élue au Bono, a vivement réagi : « Vous ne voyez que le temps passé sur place alors qu'il y a d'autres choses qui rentrent en compte, comme la partie administrative. »

 

Daniel Jacob, président du Siaep et adjoint à Baden, a coupé court au débat en proposant l'approbation de ce rapport, auquel les deux élus de Plougoumelen ont montré leur désaccord par leur abstention.

 

Un seul élu a tenu à faire part de son doute quant à l'objectivité des rapports présentés. Jean-Pierre Quillien, élu à Ploeren, s'interroge sur le fait que « les rapports d'assainissement collectif et d'eau potable sont réalisés par un cabinet indépendant tandis que celui de l'assainissement non-collectif est réalisé en interne. Cela pose un réel problème d'objectivité ». En effet, le Siaep a été épinglé par la cour des comptes en octobre dernier notamment sur l'objectivité de certains documents.

 

Adresse du service :

S.I.A.E.P de Vannes Ouest

7 Rue des Artisans

Zone Artisanale de Toulbroch

56870 BADEN

Téléphone : 02.97.57.24.32

Fax : 02.97.57.26.09

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